Par Raymond J. Bériault († 1971)
J’y étais presque. J’y serais dans quelques heures. L’expérience fascinante était maintenant transformée en une obsédante inquiétude. Problèmes, secrets, mystères, découvertes, se bousculaient dans mon esprit. Il fallait, sans retard, déterminer la base de mon action. Toutes les solutions imaginées aboutissaient aux valeurs humaines de ma civilisation occidentale. Dans la mesure de mes moyens, je devais en être le témoin.
Ce témoignage que j’ai voulu le plus concret possible m’a fait connaître et aimer le Cambodge et les Cambodgiens. Comme cela arrive infailliblement, j’ai reçu beaucoup plus que j’ai pu donner. Cette monographie, terminée à l’été 1954, n’a d’autre but que de rendre un peu ce que je dois à ce petit peuple oriental qui m’a comblé. Elle aura atteint son but si d’autres sympathies peuvent naître à sa lecture.
J’y étais presque. J’y serais dans quelques heures. L’expérience fascinante était maintenant transformée en une obsédante inquiétude. Problèmes, secrets, mystères, découvertes, se bousculaient dans mon esprit. Il fallait, sans retard, déterminer la base de mon action. Toutes les solutions imaginées aboutissaient aux valeurs humaines de ma civilisation occidentale. Dans la mesure de mes moyens, je devais en être le témoin.
Ce témoignage que j’ai voulu le plus concret possible m’a fait connaître et aimer le Cambodge et les Cambodgiens. Comme cela arrive infailliblement, j’ai reçu beaucoup plus que j’ai pu donner. Cette monographie, terminée à l’été 1954, n’a d’autre but que de rendre un peu ce que je dois à ce petit peuple oriental qui m’a comblé. Elle aura atteint son but si d’autres sympathies peuvent naître à sa lecture.
Monographie produit par l'éditeur AN STUDIO, bientôt disponible sur notre site en ligne chez Blurb.com
- Format: 8" x 10"
- Pages: 298
- Photos: 145
- Papier: Mat